A
l’époque
de
l'argentique
j'utilisais
majoritairement
des
pellicules
négatif.
J'étais
assez
raisonnable
sur
le
nombre
de
pellicule
que
j'utilisais,
car
c'était
toujours
assez
frustrant
de
constater
qu'une
partie
des
photos
n'auraient
pas
mérité
d'être
tirées
sur
papier
:
mal
exposées,
mal
cadrées,
bougées,...
Pour
les
photos
les
plus
réussies
et
que
je
faisais
agrandir,
je
constatais, bien
souvent,
une
dérive
des
couleurs
par
rapport
au
tirage
original.
Ensuite est arrivé le numérique avec ses vertus pédagogiques et sa souplesse d'utilisation (visualisation immédiate des photos, multiplication des essais pour arriver au résultat escompté, mémorisation des données techniques, format RAW pour des traitements logiciel ultérieurs,...).
Et s'est à nouveau posé le problème d'un tirage de qualité pour profiter pleinement de mes plus belles images.
Après différents essais avec différents sites photos sur le Web, un ami photographe m'a conseillé l'entreprise Saal Digital. J'ai eu l'occasion de les rencontrer au Salon de la Photo de Paris en 2015 et ils m'ont fourni un ensemble d'échantillons de leurs tirages papier (y compris FineArt) et de leurs tableaux photos.
Après
des
tests
des
différents
papiers
sur
plusieurs
photos
caractéristiques,
j'ai
effectué
plusieurs
commandes
de
tirages
FineArt,
contrecollés
ensuite
sur
du
carton,
voire
sur
de
l'Alu-Dibond
(dans
ce
cas,
je
fais
faire
le
contrecollage
par
une
société
proche
de
chez
moi).
C'est
le
cas
de
la
photo
« Crépuscule
sur
la
Dent
de
Crolles », affichée
dans
mon
salon,
et
que
j'ai
tiré
en
50x100cm
sur
du
papier
FineArt
PhotoRag.